Si vous avez vu mon bilan lecture de 2019, vous savez très certainement que Un si petit oiseau de Marie Pavlenko a été un de mes romans coup de cœur l'année dernière. Je l'avais dévoré il y a tout pile un an et il m'avait fait passer par une foule de sentiments plus intenses les uns que les autres.
C'est donc avec beaucoup d'attente que je me suis plongée dans ce nouveau roman de l'autrice. J'appréhendais un peu car le résumé me faisait penser que cela n'allait rien avoir à faire avec ce qu'elle a pu écrire auparavant et, en même temps, le sujet de l'écologie me touchant énormément, je me suis dis que Et le désert disparaîtra pourrait me plaire.
On y suit une jeune fille, Samaa, qui a des ambitions qui ne sont pas acceptées dans sa société. On la voit évoluer au cours de cette histoire. Elle prend peu à peu son envol et va comprendre ce qui est important dans la vie. Comme je m'y attendais, l'autrice nous parle énormément de nature dans ce roman et on découvre un futur alternatif qui pourrait très bien être le nôtre.
Ce roman a une belle morale mais j'avoue que j'ai eu du mal à accrocher avec. J'ai trouvé que les éléments avançaient trop lentement et je me suis pas mal ennuyée au cours de ma lecture. Moi qui avait été complètement envoûtée par l'histoire de Un si petit oiseau, je me suis retrouvée déçue par cette nouvelle parution de l'autrice.
Malgré tout, je pense que Et le désert disparaîtra peut plaire à beaucoup de monde, il ne faut juste pas s'attendre à retrouver le même style d'histoire que dans ces précédents romans car Marie Pavlenko y prend un tournant tout à fait différent.
A bientôt pour de nouvelles lectures,
Anaïs
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